Ecriture automatique d'une semaine cérébralement bouillonnante

Envie de me défouler. Surement du à mon manque d'activité cette semaine. Me prendre pour un de ses personnages de 'Garden State'. Monter tout en haut et hurler. Juste hurler un bon coup pour décharger toutes ces réflexions et médiations qui m'ont emplies l'esprit pendant toutes ces vacances. Et continuer.

Je me suis nourrie d'écrans cette semaine. Celui du cinéma surtout. J'ai beau commencais à m'y habituer, je m'étonne à chaque fois de tout ce qu'un film peut nous apporter.

Des envies. Des souvenirs.
Une envie de remonter à cheval. C'est cliché, hein? Je ne veux exclure personne, mais seulement les personnes ayant déjà éprouver cette sensation en montant librement, pourront comprendre.
Je jouais pourtant aux cow-boys tout les étés étant petite. Mes grands-parents, chez qui je passais mes vacances, élevaient des chevaux. Je montais sur la première barrière de l'enclos, passais la tête entre les deux autres et regardais le dresseur.
Mes grands-parents sont trop agés maintenant. Les chevaux ont été vendus. Ils élèvent des ânes.

Je me pose des questions sur l'année prochaine. Il faut que je me trouve une activité pour sortir de mon esprit ces obsessions constantes.
Cette semaine, J. m'a dit "C'est normal de douter, de ne pas savoir à nos âges" C'est une réflexion toute simple n'est-ce pas? Mais elle ne m'était pas encore venue à l'esprit.

Il reste des pages à écrire. Vous savez, celles des ces cahiers que l'on garde précieusement, ceux tellement beaux que l'on a peur d'écrire dedans. Peur de gâcher.
Il suffit de prendre un stylo.

En plus, il parait que c'est en accomplissant les choses qui nous font le plus peur que l'on devient, alors, le plus fier de soi.

Ca en fait des pages à noircir tout ça...

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