"Space Oddity" comme il disait...

Mon cerveau se remplit au rythme d'existancialisme, de poésie bonnefidienne, d'enfer kafkaien, d'état de nature et d'apellations soviétiques des année 20.
C'est comme une éponge, ça absorbe mais faut faire attention à ne pas trop l'essorer avant la date prévue.

En attendant, comme pour me narguer, le temps redevient bleu.
Je m'échappe quelques heures sur la place Stan'. Autour d'une table, on la sentira tous cette fin...

Avec l'été retrouvé et comme pour appaiser mes méninges, certains reviennent. Ils se nomment Tom Waits, Elliot Smith, Andrew Bird et bien sur, Tom McRae.
Attention, je ne les avais pas envoyé au placard, mais ils ont tellement bien ponctués l'été de l'année dernière, qu'avec eux, ce sont des souvenirs qui flottent et des nouveaux qu'on voudrait voir apparaitre dessus.

Mais cette année, se sont rajoutés le rock des années 70 et le jazz de Claire ( "celui qui donne envie de marcher au bord de la Seine, un soir d'été, à la chaleur pesante, un verre de Malibu orange à la main...")

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