"Message in a bottle" qu'il disait


Il y a des articles que je voudrais faire. De ceux que j'ai déjà retourné dans ma tête sous toutes les formes les nuits où mes draps me serraient trop forts.
Si je devais l'écrire cet article, je n'aurai même plus besoin de réfléchir.

Mais finalement je le garde pour les jours où il se fera trop présent.
En attendant, je râle, je me plains.
Mais en attendant je l'ai envoyé ce message.
Parce qu'il parait qu'on les fête aujourd'hui. Les pères. Je voudrais mieux le connaitre. J'en ai marre de rire nerveusement lorsque je vois sur des affiches de cinéma cet acteur qui lui ressemble. J'ai redécouvert ses petits bouts de jeunesse grâce à toutes ces vieilles photos. Il me ressemble.

Une nouvelle bannière. Une photo pas si anodine que ça, que j'aime particulièrement.

Et voila pourquoi je ne voulais pas le faire cet article.

Je vais bien. La chaleur moite est là, le seul courant d'air de la pièce s'engouffre sur mon épaule, ça sent la pluie, les jours se rallongent, Arthur H a une voix magnifique et j'attend impatiemment les jours à venir.

Avec Claire (si indispensable), nous avons retrouvé les joies de la place Stan' le soir et bientôt Paris nous acceuillera à nouveau.

"c'est peut-être parce que c'est rare que c'est mieux"

Paris vu par Jean-Philippe Charbonnier

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2 Comments:

Anonymous Anonyme said...

:)

Un sourire pour mon Alix si préciseuse...

lundi, 19 juin, 2006  
Blogger Chloé said...

(Platonov, le second titre c'est le drame de l'absence des pères.


Je n'ai rien dit non plus au mien.)

mardi, 20 juin, 2006  

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